ECOMUSÉE vivant et itinérant : démonstration de vieux métiers et gestes d’autrefois.

 

 

 

Le cannage : 

 

 à six brins de canne qui provient de l’écorce du palmier d’Indonésie, jadis, c’était un produit de luxe.

 

La laine :

 

le travail de la laine exige de nombreuses étapes : la tonte du mouton, le lavage, «l’écharpissage »  ou cardage puis le filage au fuseau ou au rouet et enfin le tricot, le crochet ou le tissage.

 

 

Le Barbier :

 

souvent ambulant dans les foires, il faisait apprécier le geste délicat de la lame de son « coupe-choux » qui glissait sur la peau du visage !

 

 

La bugeade :

 

à la rivière ou au lavoir la corvée de la lessive était souvent le travail de la maîtresse de maison mais également celui de la lavandière.

La porteuse d’eau : 

 

avant l’adduction d’eau dans les maisons, la femme devait se rendre à la source, parfois éloignée, pour ramener l’eau nécessaire à la famille. Le transport se faisait à l’aide du bacou, du cerceau ou du joug et la distribution avec une « couade ».

La fabrication de râteau:

 

était l’occupation des hommes pendant la morte saison.

 

 La faux:

 

outil indispensable au paysan demandait beaucoup d’attention et d’entretien dont le « battage » sur une enclumette.

Le chanvre :

 

des semis au métier à tisser, le chanvre était récolté, mis à rouir, mis à sécher, broyé, peigné et enfin filé. Le fil de chanvre servait à faire les vêtements et les draps. Le résidu : la chènevotte servait à faire des allumettes, avec les graines on faisait de l’huile pour s’éclairer. 

 

 

 

Les sabotiers :

 

surnommés « Paters d’Ambert » région d’où ils venaient, étaient des ambulants. Certains se sont sédentarisés, mariés et restés au pays.

Le rémouleur :

 

ambulant, se déplaçait avec sa famille. Il s’installait sur la place du village, sa femme faisait du porte à porte collectant les outils à aiguiser pendant que lui affûtait et les enfants tournaient la meule qu’on appelait aussi Bzz Bzz dans certaines contrées.

 

Les scieurs de long :

 

l’hiver venu, n’ayant plus de travail à la ferme, les paysans devenaient scieurs de long migrants. Ils sciaient surtout pour faire les traverses du chemin de fer et les pièces de charpente..

 

 

 

Les scieurs au passe-partout :

 

avec cette scie à doubles poignées, par équipe de deux, les bucherons abattaient et sciaient les arbres et les grumes.

 

 

Le vannier :

 

avec l’osier, le noisetier, le châtaignier, la viorne, le vannier tressait des objets nécessaires. Cette occupation hivernale meublait souvent les veillées des hommes.

 

Les cordiers :

 

anciennement le chanvre était utilisé pour faire les cordages pour la marine, pour attacher les bêtes ou les marchandises on réunissait plusieurs ficelles par torsion pour obtenir un toron puis plusieurs torons donnent une corde.

 

 

Le café d’orge :

 

clin d’œil à nos anciens qui avec la pénurie de café pendant les deux guerres mondiales, faisaient griller des grains d’orge, les pilaient et en buvaient l’infusion ainsi obtenue.

 

 

 

 

 

Le rempailleur de chaises :

 

artisan ambulant, passait de village en village pour réparer les chaises. Bien souvent les paysans savaient rempailler les chaises eux même avec la paille de seigle ou des taillants des marais..

 

 

Le pailhas :

 

objet  fait avec des boudins de paille de seigle serrés et cousus entre eux par une éclisse de ronce. Le boulanger mettait la pâte à pain à lever dans une « paillasse » avant d’enfourner. 

 

 

 

Battage aux fléaux:

 

avant la batteuse les paysans battait les gerbes avec un fléau à 2, 3, ou 4 dans l’aire de la grange.

 

 

Le jeu de quilles :

 

 

concours d’adresse les jours de fête, se jouait à même le sol selon des règles bien précises. L’enjeu était souvent une « tournée »….. !

 

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